Le salaire de la peur

Ce week-end, retour à Santo Domingo. Nous avons des courses à faire, il est temps d’aller danser un peu, de rendrfe visite à Rosalie et Hugo.

De chez Rosalie et Hugo, au petit déjeuner, je vois une échelle de corde qui descend du haut d’un immeuble de 18 étages.

Intrigué, je jette un coup d’oeil de temps en temps pour voir ce que c’est. 

Je ne suis pas déçu. En fait, des gars sont en train de repeindre l’immeuble, et plutôt que de mettre un échafaudage, ils sortent par la fenêtre, un étage sur deux, montent dans l’échelle et peignent en dessus et en dessous. Pas attachés bien sûr.

2 thoughts on “Le salaire de la peur

  1. benoit

    Pour moi, c’est la plus belle photo de votre voyage. Et, paradoxe, il n’y a ni bateau, ni plage, ni mer, ni bastingage, ni cordes et nœuds de marins. Juste un truc du pays des gens qui vivent sur la terre (lui dans les nuages). Et bizarrement, malgré le paysage assez moche quand même, il y a une vrai poésie.
    Merci

Laisser un commentaire